Christophe Lemaire est un designer graphique qui intègre fortement le conseil.
Il commence son travail de graphiste avec une réflexion et un conseil stratégique sur l'offre et la marque, il vous projette dans la vision de votre entreprise à moyen et long terme.
Christophe Lemaire, diplômé de ESAA Duperré, est graphic designer indépendant depuis 30 ans.
Il saura vous écouter, interviewer vos collaborateurs vos clients et vos intermédiaires, il comprendra la culture de votre entreprise, saisira ses enjeux. Il travaille avec peu de clients, et s'implique totalement dans ses missions. Il est l'instrument graphique de votre croissance.
Christophe Lemaire est votre meilleur allié pour le positionnement visuel de votre entreprise.
Audit + Diagnostic + Solutions innovantes + Création exclusive
Expérience
Christophe Lemaire, est graphic designer indépendant depuis 1997. Auparavant graphiste, puis directeur artistique en agence, et responsable du marketing direct chez Strafor (Groupe Strafor Facom), puis dirigeant de Critères Conseil, studio de création graphique et d'édition pendant cinq ans. Il apporte des solutions sur mesure à ses clients, PME, PMI et TPE, pour la communication BtoB, mais aussi pour les associations.
Ces expériences lui ont appris toutes les mécaniques nécessaires à la conception et l'élaboration d'actions de communication performantes et quantifiables tant pour les entreprises que pour les associations.
Christophe Lemaire a créé des dizaines de logos dont certains comme le logo Unil-Opal sont toujours utilisés 23 ans après leur création. Signe de pérennité et de savoir-faire !
Valeurs
Toutes les idées ne feront pas forcément avancer votre entreprise. Nous trouverons ensemble celles qui vous feront progresser !
Vérités
Tous les produits de doivent pas forcément exister.
Car toutes les idées ne sont pas bonnes… pour l'avenir.
Conditions
générales
Article 1 – Objet
Les présentes conditions générales de vente ont pour objet de régir les relations contractuelles entre le Designer et son Client. Elles prévalent sur celles d’achat du Client. Toute commande vaut acceptation sans réserve des présentes conditions générales de vente.
Article 2 – Devis
Les devis sont valables trois mois à compter de leur date d’émission. Aucune commande ne sera exécutée avant signature par le Client du devis du Designer et paiement de l’acompte éventuellement prévu au devis.
Article 3 – Commande
Le Client et le Designer s’engagent à collaborer activement à la réussite du projet, objet du contrat.
Le Client doit informer le Designer de toute mise en concurrence.
Le Client doit apporter toutes les informations nécessaires à la bonne exécution du contrat, concernant notamment les règles régissant son métier.
Le Designer s’engage à informer le Client, de manière régulière, de l’avancée de la réalisation du projet. Si la validation par étapes de ses travaux est prévue, le Designer s’engage à soumettre ceux-ci au Client dans les délais prévus au devis et celui-ci à répondre à la demande de validation dans les délais pareillement prévus. Toute modification apportée à la commande devra être expressément acceptée par le Designer et faire l’objet d’un échange écrit.
Article 4 – Prix de vente
Le(s) prix du Designer inclue(nt) :
• les honoraires de conception et réalisation de l’œuvre de Design, à l’exclusion de tout frais.
• les droits d’exploitation — reproduction et/ou représentation — expressément prévus au devis et dans les limites précisées sur celui-ci.
Article 5 – Propriété des prototypes, maquettes, films, fichiers réalisés à l’occasion de la commande
Sauf disposition contraire expresse, tout prototype, toute maquette ou photographie, tout dessin, film, fichier numérique, document d’exécution, etc. remis au Client est la propriété du Designer et doit lui être restitué après utilisation. Les fichiers natifs ne peuvent être remis au client sans compensation financière.
Sauf disposition contraire expresse, les fichiers sont livrés au Client au format JPEG ou PDF éventuellement protégés par mot de passe.
Article 6 – Livraison / transfert de propriété et des risques
En cas de vente d’un quelconque bien, le transfert de propriété au profit du Client ne sera réalisé qu’après complet paiement du prix par ce dernier.
Le transfert des risques de perte et de détérioration de ce(s) bien(s) sera réalisé dès la réception de celui-ci (ceux-ci) par le Client.
Article 7 – Droits d’auteur
Il ne saurait y avoir de cession de droits d’auteur à défaut de mention expresse en ce sens.
La cession de droits d’auteur éventuellement convenue est limitée au domaine d’exploitation précisé au présent devis, notamment quant à son étendue et sa destination.
À défaut de précision contraire mentionnée au présent devis, quant à l’espace dans lequel l’œuvre pourra être exploitée, la cession des droits d’exploitation de l’œuvre de design commandée est limitée à la France.
À défaut de précision contraire mentionnée au présent devis, quant à la durée autorisée de l’exploitation, la cession des droits d’exploitation de l’œuvre de design commandée est limitée à un an.
La durée maximum de cession de droits est de 5 ans. Au delà, un nouveau contrat sera établi entre le designer et le Client, si le client souhaite continuer à utiliser l’œuvre.
Tout au long de la durée d’utilisation de l’œuvre, le Client devra prévenir le designer de tout changement de périmètre d’utilisation de l’œuvre faisant l’objet de la cession de droits (espace d’utilisation : élargissement de la zone géographique, étendue d’utilisation : augmentation de la diffusion, nouveaux médias), ceci afin de se mettre en règle en acquittant toujours les droits dûs à l’utilisation réelle de l’œuvre.
La cession éventuellement prévue au devis n’intervient que sous la condition suspensive expresse du paiement de l’intégralité de la somme fixée audit devis, ladite somme étant expressément considérée comme une contrepartie minimum à ladite cession de droit.
L’exploitation du travail du Designer et, le cas échéant, la rétrocession à un tiers des droits d’auteur éventuellement cédés ne pourront intervenir qu’une fois le paiement de ladite somme intervenu.
Toute reproduction ou représentation des créations de l’auteur effectuée avant paiement intégral de ladite somme sera constitutive de contrefaçon qu’elle soit effectuée par le cessionnaire ou par tout ayant droit de ce dernier.
Le Designer sera fondé à intervenir auprès du client du Client pour s’opposer è l’exploitation de son travail tant que la somme devisée ne lui aura pas été intégralement réglée.
Article 8 – Redevance due au Designer
De convention expresse, dans le cas où l’apport du Designer, purement conceptuel, ne pourrait être protégé par le droit d’auteur ou le droit des dessins et modèles, le Client ne pourra exploiter le concept apporté par le Designer avant que les parties ne se soient accordées sur la redevance due au Designer en contrepartie de cette exploitation, d’un montant proportionné à l’importance et à la durée de cette exploitation.
Article 9 – Mention des nom et qualité du Designer
Le Client s’engage à mentionner ou faire mentionner, de manière parfaitement visible, les nom et qualité d’auteur du Designer, soit la mention “Design Christophe Lemaire – www.lemaire-design.fr” sur le modèle lui-même et en regard de toute reproduction ou représentation de l’œuvre sur quelque support que ce soit, matériel ou virtuel.
Il s’engage encore à porter ou à faire porter cette mention, de la même manière très visible, sur tout document édité ou diffusé par quelque moyen que ce soit pour la promotion, la publicité, l’exposition, la vente, etc de l’œuvre du Designer ou du support physique ou virtuel sur lequel elle est intégrée.
De convention expresse, le Client devra respecter cet engagement même dans le cas où, par impossible, l’apport du Designer, purement conceptuel, ne pourrait être protégé par le droit d’auteur ou le droit des dessins et modèles.
Cependant, si le Designer le demande expressément, pour tel ou tel travail, son nom ne sera pas mentionné.
Article 10 – Promotion de l’activité du Designer
Sauf accord expresse en sens contraire, le Designer se réserve le droit de reproduire ou de représenter les créations réalisées pour le Client pour les besoins de la promotion de son activité professionnelle.
En pareille circonstance, sauf accord contraire, le Designer citera le nom du Client.
Article 11 – Exemplaires justificatifs
Sauf usage contraire, le Client s’engage à remettre au Designer un exemplaire justificatif de l’œuvre créée par ce dernier.
Article 12 – Facture et règlement
La facture mentionnera la date de règlement, laquelle doit être antérieure à l’exploitation du travail du Designer.
À défaut, le paiement des prestations devra intervenir 30 jours francs après la date d’établissement de la facture.
Les pénalités de retard courent de plein droit dès le jour suivant la date prévue de règlement.
Toute somme non payée, à la date d’exigibilité de la facture, sera majorée de plein droit, sans mise en demeure préalable, d’un intérêt à un taux égal à 5 fois le taux de l’intérêt légal alors en vigueur, ramené, le cas échéant, au maximum prévu par la loi en vigueur au jour de la facturation. Le Client qui paie une facture après l’expiration du délai de paiement, devra, au minimum, verser au Designer une indemnité forfaitaire pour frais de recouvrement de 40 € (article D. 441-5 du code de commerce).
Tout retard de paiement autorise le Designer à suspendre l’exécution de la prestation. Aucun escompte pour paiement anticipé ne sera accordé.
Article 13 – Confidentialité
Toute information et tout document échangés entre le Designer et le Client sont confidentiels.
Le Designer et le Client s’engagent à n’en faire aucune divulgation.
Article 14 – Responsabilité du Designer
Le Designer déclare être le seul créateur de l’œuvre livrée et, en toute hypothèse, pleinement habilité à disposer de l’intégralité des droits d’exploitation y afférents.
Il atteste ne pas avoir connaissance d’une œuvre réalisée par un tiers pouvant être ressemblante.
Toute ressemblance avec une autre création serait, par suite, purement fortuite.
Sa responsabilité est, en toute hypothèse, limitée au montant des droits d’auteur perçus pour la seule œuvre en question.
Article 15 – Responsabilité du Client
Le Client est seul responsable de tout document, plan, texte, norme, indication technique, code-barres, etc qu’il fournit au Designer.
S’agissant de design d’objet, le Client s’engage à ce que le produit fabriqué soit de la qualité appropriée à l’œuvre créée par le Designer et aux marchés où il est distribué en vue d’éviter, notamment, toute atteinte au droit moral de l’auteur.
Il répond seul, sans pouvoir se retourner contre le Designer, de toute réclamation des consommateurs notamment au titre de la garantie de conformité de l’article L 211-4 du Code de la Consommation et de la garantie des défauts cachés de la chose vendue visée à l’article 1641 du Code Civil.
Il s’engage à ne pas créer, faire créer, fabriquer, faire fabriquer, ni inscrire à son catalogue d’autres modèles susceptibles de prêter à confusion, concurrencer ou porter préjudice au modèle commandé au Designer.
Article 16 – Prescription
Le délai de prescription de l’action visant à engager la responsabilité civile du Designer est de deux ans à compter de la livraison de son travail.
Article 17 – Loi applicable et attribution de compétence
De convention expresse, la loi applicable aux relations entre le Designer et le Client est la loi française.
Tout différend entre le Designer et le Client sera, À défaut d’arrangement amiable, exclusivement soumis à une juridiction française.
* Alliance française des designers ˝ 2014, Paris
Eco-
conception
Économie, écologie et social ne sont pas incompatibles avec RENTABLE.
Pour une communication DURABLE.
Rémunération
"LE PRIX S'OUBLIE, LA QUALITÉ RESTE !"
Quelle différence entre un graphic designer freelance, une entreprise et un salarié ?
Comme n'importe quelle entreprise, le freelance supporte à sa charge le coût de :
• ses cotisations sociales,
• sa retraite,
• ses assurances,
• sa formation,
• sa médecine professionnelle,
• tous les frais professionnels liés à l'exercice de son métier, à savoir l'achat ou la location du matériel, des licences de logiciels, les coûts liés à son local professionnel, le mobilier, électricité, le gaz, le téléphone, le fax, la connexion et le site Internet, les transports, son véhicule et ses déplacements, les taxes...
Il doit gèrer également lui-même :
• les démarches administratives imposées par son statut,
• la comptabilité de son activité,
• la veille technologique...
Dans une entreprise toutes ces cotisations, charges, démarches et compétences nécessaires existent aussi, et font partie du coût direct et indirect d'un employé, même si elles n'apparaissent pas sur sa fiche de paye. Un employé et son entretien coûtent donc beaucoup plus cher à son entreprise que le seul salaire (en général c’est autour du double si on compte l'ensemble des charges et taxes patronnales).
C’est pourquoi on ne peut pas comparer le tarif d'un freelance, qui englobe toutes ces charges, au salaire d'un employé, qui ne représente qu'une petite partie de son coût réel.
Le tarif d'un freelance doit être comparé à celui d'une entreprise - d'une agence de communication par exemple - car leurs frais de fonctionnement sont assez proches.
Une juste rémunération
Les tarifs que je demande sont des tarifs normaux pour un graphiste implanté à Paris, à savoir de 600 à 1000 € par jour en fonction de la mission qui m'est confiée. Les frais de déplacement et de réunions sont en supplément.
Payer le prix que je demande, c'est aussi avoir un service plannifié, une disponibilité, une garantie de résultat, une assurance RCPro ; cette sécurité a un prix.
Appel d'offres : ne prenez pas exemple sur les pires commanditaires
Certaines entreprises, associations ou collectivités territoriales considèrent qu'il est nécessaire de juger une offre sur une création. La création est un processus long et coûteux qui ne peut se contenter de propositions "sorties du chapeau".
Si c'est votre point de vue, c'est que vous n'imaginez même pas tout ce que le design graphique peut faire pour votre entreprise…
Voici comment procéder si vous souhaitez consulter plusieurs graphistes :
Le processus de sélection :
Phase 1 : Vous faites une pré-sélection de quelques designers graphiques (pas des graphistes publicitaires) qui vous semblent correspondre en qualité à votre niveau d'exigence, et vous leur faites parvenir un cahier des charges. Sur cette base - si elle est bien conçue -, vous recevez des devis, vous évaluez leurs pertinences et leurs implications (les options) par rapport à votre budget.
Phase 2 : Si vous avez encore des doutes, vous faites concourir deux ou trois candidats (maximum) dans une compétition rémunérée (pas défrayée) pour présenter un projet créatif sous forme d'une ou deux maquettes. Ceci devrait vous permettre de choisir le bon cheval. Vous dédommagez les candidats recallés à hauteur de 50% minimum du prix de la prestation demandée (sur la grille tarifaire commune de l'appel d'offre).
Christophe Lemaire est signataire de la Charte AFD de l'eco-design et transmet ces valeurs aux commanditaires publics et privés avec lesquels il travaille.
Appel
d'offres
Christophe Lemaire se conforme aux dispositions prises par le syndicat professionnel de la branche (Alliance France Design) et le Ministère de la Culture et de la Communication.
Les appels d'offres non conformes à la Charte des marchés publics du design ne seront pas étudiés.
Charte AFD des marchés publics de design
L’Alliance française des designers (AFD), 1er syndicat du design et 1er par le nombre de membres, gérants d’entreprises, indépendants ou intégrés, œuvre pour tous les métiers du design en France et en Europe. Reconnue par l’État Français, la Commission européenne, le Parlement et le Conseil des ministres européens, l’AFD diffuse cette charte approuvée par le ministère de la Culture et de la Communication.
Télécharger la Charte AFD des marches publics de design – 2e édition
L’AFD encourage les collectivités à procéder à l’organisation et à l’attribution des marchés publics de design selon les principes qui sont décrits dans la présente charte, dans le but de valoriser la qualité des investissements publics et de favoriser la qualité des réponses aux AAPC par le respect des designers professionnels.
L’AFD encourage les designers professionnels à devenir ambassadeurs de la présente charte, à répondre aux appels d’offres s’inscrivant dans ses principes et à refuser ceux qui ne répondent pas aux meilleures pratiques déontologiques.
Déclaration d’engagement
La déclaration d’engagement est gratuite (voir formulaire sur le site de l'AFD). C’est le pouvoir adjudicateur, ou l'entité adjudicatrice, ou encore une personne habilitée autorisée par chacun de ces organismes qui doit signer :
• l’État et ses établissements publics autres que ceux ayant un caractère industriel et commercial ;
• les collectivités territoriales et les établissements publics locaux ;
• les organismes de droit public ;
• les associations formées par une ou plusieurs de ces collectivités ou un ou plusieurs de ces organismes de droit public.
Le pouvoir adjudicateur :
• s’engage à procéder à l’organisation et à l’attribution des marchés publics de design selon les principes qui y sont décrits dans la présente charte ;
• sera mentionné dans la liste officielle sur le site de l’AFD ;
• est invité à reproduire librement sur ses supports de communication le leitmotiv « Signataire de la Charte AFD des marchés publics de design. »
Il appartient aux designers répondant aux appels d’offres émis par les signataires d’en vérifier la bonne application et, au cas où un appel d’offres non conforme serait constaté, d’informer l’AFD, qui se rapprocherait de l’administration.
Demande de labellisation
Tout signataire peut demander l’accompagnement de l’AFD et l’octroie du label AFD, pour la rédaction d’un appel d’offres en particulier ou dans le cadre d’une démarche plus globale. Cette labellisation est payante, son montant est établi sur devis par l’AFD selon la nature de la demande du signataire les critères du label sont en Annexe II, page 48 de la charte. Toute reproduction du label ci-dessous sans l’accord explicite de l’AFD est strictement interdite.
Eco-design
Christophe Lemaire est signataire de la Charte AFD de l'eco-design et transmet ces valeurs aux commanditaires publics et privés avec lesquels il travaille.
Le designer graphique, comme tout designer, doit intervenir pour éduquer ses clients et les utilisateurs des outils qu'il conçoit et réalise.
Il veillera à ce qu'un document ne soit pas imprimé trop loin de sa zone de distribution afin de limiter l'impact environnemental lié au transport.
Il veillera à ce que les matériaux utilisés soient recyclable, ou même réutilisables (principe des 3R / 4R) et ne deviennent pas des déchets.
Il veillera à ce que la Responsabilité Sociétale des Entreprises ne soit pas engagée dans le processus de fabrication des outils de communication.
Ainsi, les papiers doivent être issus de gisements responsables et labellisés FSC ou PEFC, les imprimeurs doivent être certifiés Imprim Vert, et les transports réduits au maximum.
Il en est de même pour un outil dématérialisé tel que site internet, newsletter, réseaux sociaux, très consommateurs d'énergie "délocalisée". Les serveurs qui répondent aux sollicitations des utilisateurs sont des immenses machines qui consomment autant d'énergie que des villes entières.
Organiser les contenus de ces supports pour minimiser les temps d'accès à l'information et à la prise de décision / commande est également très important. Réduire le nombre de pages utiles pour le processus de décision est nécessaire.
Image de
marque
Qu'est-ce qu'une image de marque - un territoire de marque ?
Une image de marque est un ensemble de paramètres qui interviendront dans la communication d'une marque ou d'une entreprise et qui seront
perçus par le client ou le consommateur en fonction de valeurs qualifiant celle-ci (classique, vieillote, dynamique, innovante, technologique, humaine, jeune, utile, proche de la nature, bio, humanitaire, sociale, etc).
Pourquoi définir un territoire de marque ?
Les produits ou services que vous proposez à votre clientèle ont-ils une identité ? Qu'est-ce qui les différencie de ceux de vos concurrents ?
Un territoire de marque doit avoir le pouvoir de modeler l'image d'une entreprise, un produit ou un service.
Ceci sert à positionner votre produit ou service en gamme, à l'adresser clairement à un segment de marché défini, ou notamment à couvrir
l'ensemble d'un marché complexe en utilisant plusieurs marques et plusieurs territoires visuels.
En s'appuyant sur la notion de territoire, la marque ou l'entreprise peut se développer de façon transversale.
Le rôle du designer graphique
Le designer graphique comprend les enjeux du territoire de marque.
Grâce à son expertise marketing, son approche créative et à sa connaissance de l'organisation commerciale et maketing de son client, il participe à la composition d'une image de marque.
Les éléments qui peuvent orienter la perception du client final (celui qui va acheter vos produits ou services) reposent notamment sur :
• Le choix de l'environnement visuel des produits (illustration, photographie, graphisme)
• La symbolique et le sens des visuels, le style photographique, le type de cadrage, la profondeur de champs, la palette de couleurs, l'exposition, la luminosité, etc
• La mise en valeur des photos, leur habillage, ou leur traitement graphique
• La charte graphique définisant l'utilisation du logo, la typographie, la mise en page, les couleurs utilisées ou interdites
• Le format et la forme des documents utilisés ou diffusés par l'entreprise, l'ergonomie et la forme des sites internet
• Et bien d'autres critères encore…
Territoire
visuel
Quelle est la différence entre image de marque et territoire visuel ?
L’image de marque est un ensemble de règles qui régissent la communication d’une marque vers son client final.
Le territoire visuel couvre toutes les forme de la communication (corporate, commerciale, interne, investisseurs) et donc ne s’adresse pas seulement au client final.
Il faut donc penser le territoire visuel comme un signal rassurant de l’entreprise pour ses investisseurs, ses employés, ses prescripteurs, etc.
Le territoire visuel est indispensable aux groupes qui gèrent plusieurs marques, mais également nécessaire aux entreprises qui innovent, recherchent des partenariats, développent de nouveaux produits, vont de l’avant.
C'est donc un ensemble de signes perçus par le client ou le consommateur en fonction de valeurs et de paramètres qualifiant l'entreprise (classique, vieillote, dynamique, innovante, technologique, humaine, jeune, utile, proche de la nature, bio, humanitaire, sociale, etc).
Pourquoi définir un territoire visuel ?
Les produits ou services que vous proposez à votre clientèle ont-ils une identité ? Qu'est-ce qui les différencie de ceux de vos concurrents ?
Un territoire de marque doit avoir le pouvoir de modeler l'image d'une entreprise, d'un produit ou un service.
Ceci sert à positionner votre produit ou service en gamme, à l'adresser clairement à un segment de marché défini, ou notamment à couvrir l'ensemble d'un marché complexe en utilisant plusieurs marques et plusieurs territoires visuels. En s'appuyant sur la notion de territoire, la marque ou l'entreprise peut se développer de façon transversale.
Le rôle du designer graphique
Je comprends les enjeux stratégiques de votre territoire de marque.
Grâce à mon expertise marketing, mon approche créative et à ma connaissance de l'organisation commerciale et marketing de mes clients, je participe à la composition d'un territoire visuel ou de marque.
Les éléments qui peuvent orienter la perception du client final (celui qui va acheter vos produits ou services) reposent notamment sur :
• La sémantique des visuels illustrant le produit, l'ergonomie et l'harmonisation des outils de communication, la créativité des visuels, le style photographique (type de cadrage, profondeur de champs, couleurs, exposition, luminosité), etc
• La mise en valeur des photos, leur habillage, ou leur traitement graphique (grille, surimpression)
• La charte graphique définisant l'utilisation du logo, la typographie, la mise en page, les couleurs utilisées ou interdites
• Le format et la forme des documents utilisés ou diffusés par l'entreprise, l'ergonomie et la fonction des outils et notamment des sites internet
• Et bien d'autres critères encore…
Logo
Pour qui ? Pour quoi ? Et que contient un logo ?
Le logo d'une institution n'a rien à voir avec celui d'une grande entreprise, ni d'une PME. Le logo d'un musée ne véhicule pas les mêmes valeurs que celui d'un éditeur d'art…
Un logo est une image et le produit d'une réflexion complexe, souvent collégiale sur ce que doit exprimer mon client (entreprise, administration,
institution) à partir de son passé, de sa situation actuelle et de ses ambitons futures. Mais ce n'est pas qu'une image. C'est surtout le véhicule d'une identité, d'une aspiration qui doivent être transmis au public, à son client final.
Le logo est le seul "marqueur" que l'on va retrouver sur tous les supports de communication d'une entreprise, allant de la carte de visite à la signalétique en passant par la documentation, le site internet, l'architecture commerciale ou la flotte automobile.
Il doit donc véhiculer un message clair par rapport au marché et au positionnement de l'entreprise, universel si la société est présente dans
plusieurs pays.
Il doit pouvoir être adapté à toutes les contraintes et toutes les techniques de marquage, en noir et blanc, en une couleur, deux couleurs, en quadri, en tons directs, sur des formes planes ou en volume, dans les médias.
Vingt cinq ans d'expérience
Christophe Lemaire a conçu et réalisé des dizaines de logos depuis plus de vingt cinq ans de carrière. Plusieurs d'entre eux soutiennent toujours la communication des entreprises commanditaires tels que le logo Unil-Opal (créé en 1992), le logo Lagrue Immobilier (créé en 1991) et d'autres, autant pour des PME que pour des plus grandes entreprises.
Un logo n'est pas pour autant fait pour durer. Il peut aussi flirter avec les signes graphiques d'une période, et avoir une durée de vie volontairement limitée…
Charte
graphique
Une charte graphique … pour une communication cohérente.
Votre entreprise (ou association) dispose d'un logo qui est utilisé dans de nombreuses applications et de nombreux médias différents (internet, documents imprimés, packaging, annonces presse, signalétique, design de point de vente, architecture commerciale, véhicules, etc).
Pour réaliser ces outils de communication, vous faîtes appel à des fournisseurs variés qui ne travaillent pas forcément ensemble, et dont
certains pensent pouvoir adapter votre logo à leur produit.
L'expérience montre que très peu de ces fournisseurs savent s'inspirer d'une simple création sur un autre support pour l'adapter à leur produit.
C'est pourquoi une charte graphique (ou livre des normes) est bien utile dans ces cas de figure.
Si, en plus, votre entreprise comprend plusieurs filiales avec des achats et des décisions décentralisés, vous allez être confronté au problème de la cohérence visuelle de l'ensemble de votre production graphique.
À ce moment, la "bible" que constitue la charte OBLIGE chaque fournisseur à se conformer à un document contractuel, sous peine de sanction.
Concevoir une charte graphique
Au départ, le designer graphique entreprend une analyse documentaire, visant à faire un bilan objectif et exhaustif de tous les documents graphiques de l'entreprises, actuels ou futurs. Dans son analyse, le designer graphique s'attache à l'étude des signes, des formes, des symboles, des couleurs, de l'impression ressentie par le client, autant de valeurs objectives que subjectives.
Cette étude s'intéresse aussi au contexte concurrentiel et aux marchés de l'entreprise.
Le résultat est un rapport d'audit visuel de la communication de l'entreprise par rapport à la branche et au marché, visant à positionner les besoins d'identification de la marque et à évaluer les moyens à mettre en œuvre.
A partir de ce matériel de diagnostic, en respectant le cahier des charges de l'entreprise, l'identité visuelle est élaborée produit par produit, média par média, en garantissant la cohérence entre chaque élément.
Ainsi, la Charte Graphique est créée, validée par les décideurs de l'entreprise, puis transmise aux responsables de la communication qui seront en charge de la faire appliquer aux prestataires de services et fournisseurs en leur transmettant les documents ad-hoc.
Une expérience importante des chartes graphiques
Christophe Lemaire a conçu et réalisé des chartes graphiques pour toute taille d'entreprise depuis de longues années. Parmi celles-ci, citons Unil-Opal, JP Industrie dans le secteur pétrolier, Institut Géographique National (pour le compte de Ciso), SMI, qui comprenaient toutes les utilisations du logo par l'entreprise, et d'autres moins complètes.
Typographie
Le rôle de la typographie dans la mise en page
La typographie contribue à l'ergonomie d'un texte ou d'un document en invitant à sa lecture, et donc donne de la lisibilité à vos messages, et au final de la visibilité à votre entreprise ou votre association.
Elle peut hiérarchiser l'information, la structurer, ne pas donner d'échelle de valeur entre les mots, se faire omniprésente, ou au contraire presque disparaître.
La typo s'adapte avant tout au sujet, mais aussi au support, et le support s'adapte au mode de lecture du client final. On ne tartine pas une typo "promo" sur un rapport d'activité, tout comme on ne méprise pas le lecteur d'une affiche culturelle en lui infligeant une typo trop petite ou trop biscornue.
La typographie est importante
La typographie permet de faire ressortir une information, ou de banaliser un texte, ce n'est pas qu'au graphiste d'en décider. Cela doit aussi faire partie d'un échange de vues avec le client.
Nous sommes façonnés par des modèles imposés par la presse, l'édition, la pub, et on coule tout dans un même moule, que ce soit pour vendre un yaourt en promotion ou pour vendre un musée.
Il doit y avoir une réelle réflexion typographique sur chaque produit, chaque dossier, chaque client… Je m'y engage.
Mise en page et … mise en page
La mise en page - ou maquette - c'est ce qui va personnaliser votre communication. Elle peut être dense ou aérée, simple ou sophistiquée.
Elle répond à des codes établis de longue date dans chaque société humaine. Elle est perpétuellement en évolution pour répondre à chaque typologie de communication (corporate, commerciale, associative, promotionnelle, informative, …).
Elle est adaptée en fonction du document qui reçoit les éléments constituants cette mise en page (dépliant, annonce presse, affiche, rapport d'activité).
Elle reprend la charte graphique et le territoire visuel définit pour un annonceur précis.
La mise en page contribue à :
• Véhiculer l'image de marque d'un produit ou d'une entreprise.
• Véhiculer des informations hiérarchisées.
• Singulariser un produit ou une entreprise dans un univers concurrentiel.
La mise en page est le prolongement de toute la réflexion menée en amont pour la conception du logo, de la charte graphique, l'élaboration du territoire visuel, la direction artistique du projet.
La mise en page de vos documents est importante. Elle ne doit pas être banalisée.
Des références
Christophe Lemaire, depuis de nombreuses années, a contribué à garantir l'ergonomie des documents qu'il mettait en page, notamment des rapports annuels, magazines professionnels et de municipalités, newsletters, guides, annuaires, documents commerciaux de toute sorte (affiches, dépliants, brochures, sites internet, invitations, …), opérations de marketing direct (mailings, couponing, annonces presse, …) les rendant ainsi lisibles, utiles et donc rentables.
graphic designer et ergomone web
Paris
Tél. : 06 13 23 53 89